Les sites à passifs environnementaux ne sont pas nécessairement identifiés ou gérés comme tels en première approche et notamment en ce qui concerne le milieu souterrain en lien avec :

  • une évolution historique souvent complexe et peu connue ;
  • une sous-estimation du potentiel de migration et de persistance des pollutions ;
  • une influence souvent négligée des usages et activités des terrains voisins ;
  • une méconnaissance des obligations réglementaires et des cadres méthodologiques
     en perpétuelle évolution.

Tout type de site, de la simple propriété de particulier au grand complexe industriel, quelle qu'en soit la typologie, peut ainsi comporter un passif environnemental qu'il est nécessaire de caractériser et de gérer du point de vue juridique et financier et notamment dans le cadre de transactions.